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A PROPOS

       Naître dans une école, entre trois piles de Père Castor, y passer son enfance en bénéficiant à la fois de la bibliothèque familiale et de celles des classes, voilà qui prédispose indubitablement à la lecture. Et c'est un penchant qui ne fait que s’affirmer avec l'âge.

Pendant un temps, on abandonne les livres illustrés pour de plus "sérieux", sans crainte du nombre de pages. C'est la grande époque du Nils Holgersson de mes 8 ans:

 Mais, à un moment ou à un autre, l'intérêt pour les images revient.  Par l'intermédiaire

d'un enfant, souvent, pas uniquement le sien. Et grâce à "l'invention", dans les années 70, des librairies de jeunesse.... où l'on retrouve ses livres d'enfance,

   

 

et l'on découvre un vaste monde, dans lequel mots et images vivent à égalité.

 

 Bientôt la langue maternelle ne suffit plus. Les vicissitudes des chemins familiaux mènent à l'italien, qui 

bientôt va devenir LA langue à connaître et à faire connaître.  Bref, à enseigner, après avoir eu quelques enseignantes et enseignants hors pair. Les textes "de jeunesse" ne font que de timides apparitions dans les manuels, en cette fin de XXe siècle, mais des auteurs comme RODARI, moissonnés pendant l'été, donnent déjà quelques idées pour varier l'ordinaire des cours et "faire parler".

 

                           

C'est de la conjonction astrale d'un colloque sur "l'album illustré dans l’enseignement des langues étrangères" (je cite de mémoire...), organisé par une germaniste, d'un Istituto Italiano di Cultura, de la participation de la revue ANDERSEN au dit colloque, et... de l'arrivée de la grande liberté de la retraite que va naître Lectures Italiennes, pour continuer à partager ces découvertes. Avec un émerveillement sans fin...

Conviction renforcée par deux éléments :

- d'une part, la découverte de certains albums plusieurs années après leur parution. Il n'est pas nécessaire qu'un album soit tout récent pour en parler. L'abondance de la production, dans la littérature de jeunesse aussi, fait que l'on peut "rater" la sortie de chefs-d’œuvre, et ce n'est que justice que de les remettre sous les regards des lecteurs et lectrices potentiels.

- D'autre part, des conversations avec des bibliothécaires jugeant important d'avoir des rayons jeunesse en langue originale, sans pour autant maîtriser toutes les langues concernées. D'où des achats pas forcément aussi riches que la production du pays en question. Lectures Italiennes s'adresse particulièrement à elles et à eux.

 

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